dimanche 26 février 2017

MAHASHIVARATRI 26 FEVRIER 2017:DAATH ET LA PORTE DES PARADOXES




BONNE FETE DE MAHASHIVARATRI CE 26 FEVRIER 2017:

DAATH OU LA PORTE DES PARADOXES

Le 2 février 2017 (dans la période du 1er croissant lunaire) nous avons (pour certains) célébré  IMBOLC le renouveau à venir à la manière païenne. Ce frémissement au niveau de l’astre lunaire et des planètes annonçait le début de l’année véritable dans les traditions anciennes, la fête de Risshun le 5 février lors de la lune gibbeuse ascendante. Setsubun est le nom de la veille du jour appelé risshun, qui marque le premier jour du printemps selon l'ancien calendrier japonais, un calendrier lunaire comme le sont les calendriers indiens et juifs ultérieurs. Ce jour là, il est de coutume de lancer des graines de soja grillées en déclamant « Les démons à l'extérieur ! Le bonheur à l'intérieur ! » Une vieille coutume qui fait référence à l’époque Divine d’enfermement des « dieux de lumière » derrière la « Porte Rocheuse » (mise à l’arrière plan de la lumière au profit de l’Ombre).
 

Nous sommes dans la période des « premiers temps de l’année », dans le printemps, du latin primus termpus. Le "premier temps", est le début du recommencement du cycle. L’Homme Vert le Verdoyant Pashûpati) revient à la vie. Les romains appelaient ce moment ver sacrum, sacre du printemps, et nommaient ce temps "printanier" : vernalis, qui a donné le français "vernal". Ce terme s'emploie surtout dans le domaine de l'astronomie : le point vernal, c'est l'équinoxe de printemps vers lequel nous nous dirigeons (le 21 mars).

Cette relation entre la source et la lumière montante du printemps, se retrouve dans la symbolique de la lettre Ayin (ע), seizième lettre de l'alphabet hébraïque. Cette lettre, surtout connue pour représenter un œil, est tout à la fois la "source" d'eaux et la "source" de lumière, eaux et lumière sont réunis par la "source d'eaux vives" (maqor mayim h'ayim - מְקֹור מַיִם חַיִּים).
 
 
L'hébreu mâyan désigne également un losange et la forme du diamant. Il est intéressant de relever que la valeur numérique, 170, de mâyan est également celle de "nissan" (נִיסָן), le mois hébreu du printemps (qui est attesté comme étant le mois de la naissance du Christ). La source se prononce simplement "êin" (עֵין), c’est la source serpentine qui monte et descend dans la colonne centrale de l'édifice des Sefiroth qui réunit les eaux et la lumière. Au centre du Daâth (דעת), la source de lumière, se trouve la lettre Âyin, et ses 70 degrés. Yessod (יסוד), le miroir d'en bas, la source des eaux, est "Yod-Sod" (י סוד), le "secret du Yod". La source de Lumière s'étend à partir de la mystérieuse Daâth, elle descend vers Malkuth pour l'éveiller, la renouveler et la rendre fertile et verte.  Le Yod est la force secrète qui va faire le tiqoun (réhabilitation) des 50 Portes d’en HAUT.

DAATH est la porte des paradoxes, le lieu de passage de notre Univers A vers l’Univers B. la pression du bas vers le Haut et la pression du Haut vers le bas donnent lieu à des voies paradoxales que l’on peut nommer Gnose immanente et Gnose transcendante. Mais n’oublions pas que la Lune et Soleil ne sont que des aspects de Celui qui n’est pas, de l’Obscurité au-delà du Bien et du Mal. Et aujourd’hui justement nous célébrons la NUIT DE SHIVA (Mahâ-shiva-râtri), la « disparition » du « Soleil » et de la « Lune », la résorption de toutes les fausses dualités. Comme le disait Crowley en citant les mystères des portes « paradoxales » : « For below the Abyss, contradiction is division; but above the Abyss, contradiction is Unity ». Bonne fête de MAHA SHIVARATRI !

KHEMXNUM

jeudi 16 février 2017

L'ARCHETYPE DU DIEU SET ET LA SOI DEIFICATION

                                                   

 Dans les Arts occultes, le but à atteindre doit être défini. Mais définir un but est une chose, le COMPRENDRE est une autre chose. Tout but transcendant implique le développement de l'attitude détachée du guerrier, car en règle générale l'éveil transcendant demande une longue pratique et une longue ascèse.  Ce qui est contraire à la VOIE c'est l'attachement aux fruits de l'action. Le guerrier, celui qui est en quête (de lui-même) doit apprendre à se détacher du but. Car de façon ultime, le but projeté devant soi finit céder la place avec le temps à la joie de cheminer sans but (c'est l'enseignement de la Rune RAIDO).

      


Comme l'indique la rune, le chevalier véritable suit son chemin (son Wyrd) comme un guerrier qui ne sait pas quand ni où peut surgir le Dragon qu'il traque. Il est attentif aux moindres signes mais avec détachement et sans peur: c'est ici que but et voie se confondent: le but est dans son cœur. Ce but est la pratique de ce que l'on nomme la MAGIE, non pour créer en soi l'IBIS SOLAIRE.
            Dans la première phase d’un travail magique véritable (Solve/Coagula) nous réorientons à la fois notre vision du monde et notre conception de nous-mêmes. Nous apprenons entre autres que l'ego n'est pas notre ennemi. Dans la solitude de nos remises en cause, nous nous rendons compte que contrairement à l'opinion admise, il n’y a pas de "sauveur extérieur", il n’y a pas de "maîtres" sur qui nous pouvons compter. Nous sommes seuls et seule notre puissance intérieure (son éveil) peut nous guider. Le réveil de cette force qui sommeille en nous, le fait de ne compter que sur nous, réveille une "force" nommée le "sel". Sur cette fondation nous pouvons rassembler ou commencer à réunir les matériaux qui serviront à la cristallisation future de notre "SOI". Quand la rupture commence à atteindre son point maximum, il devient alors nécessaire d'établir consciemment un contrôle magique (Julius Evola explique bien cette phase). C'est à ce moment que quelque chose de réellement "séparé" de l'univers peut apparaître et que commence véritablement la VOIE magique.
La figure du dieu Set est emblématique de cette quête de la soi-déification. Il est la figure par excellence des deux courroies du sentier magique: l'isolationnisme et l'antinomianisme (moyens utilisés pour créer le « sel » intérieur). Set est présenté comme le prototype de l'être ayant " "achevé" la voie MAGIQUE. Les 3 étapes de l'œuvre (noire, blanche et rouge) de soi-déification se déroulent à travers sa vie. A travers trois "ruptures" (on retrouve ici les 3 crises dont parlait Crowley) il va effectuer la totalité du cheminement requis:
-le « meurtre d’Osiris » ou la rupture d'avec le passé (les dieux morts de notre cycle actuel): c'est la rupture avec le passé, les anciennes formes de croyances et les fausses promesses des ordres magiques. Ce qui caractérise l'adepte véritable c'est son refus de suivre les doctrines anciennes qui n’ont plus aucune consistance par rapport au changement d’Aeon, selon l’adage : Il n’y a de vivant que ce qui est actuel;
-la rupture d'avec le présent confus en faveur de la présence à soi ici et maintenant (meurtre d'Apep). Apep est tué et son sang sert à fertiliser l'œuvre future, l'œuvre rouge qui est COAGULA: la cristallisation des corps supérieurs de l'Adepte;
-La « rupture d'avec le futur » : Set affronte continuellement Horus maintenant ainsi une dynamique sans fin et un équilibre difficile à réaliser : garder intacts mais en perpétuelle évolution les deux parties de lui-même, c'est l'œuvre luciférienne la plus absolue.

 KHEMXNUM

 

 

mardi 14 février 2017

INTEGRATION OU EVOCATION DE L'ESPRIT IOPHIEL


 
 

Présenter de façon brute l’évocation comme étant uniquement l’art de converser avec certaines entités ne rend pas compte de la partie « intégration » de ce type de rite (celle qui consiste pour le mage à intégrer des éléments « externes » particuliers, à sa propre psyché en vue d’opérer des changements intérieurs propices à l’éveil, à la réintégration dont parlent toutes les traditions. Si ces éléments ne sont pas fournis par tout rite évocatoire ou invocatoire, ces derniers ne sont alors que simple démonstration de suffisance et de vanité.

PREPARATIONS

1-4 nuits avant le rituel il faudra effectuer la totalité des préparatifs en vue du rituel.
A-Consacrer deux sigils,
B-Consacrer le talisman de JOHPHIEL;
-Revivifier le Temple Astral de Bethor.
 
Pour l'évocation elle-même, il existe plusieurs techniques (ou Formules) selon les Ecoles magiques. Ces formules ne sont pas les mêmes selon que l'on a affaire aux Esprits des planètes et à des Elémentals (Rois Elémentals), ou que l'on a affaire à des entités séphirotiques ou à des Anges et règnes archangéliques. 
 Une Formule qui fonctionne bien est celle que donnent les fondateurs de l'AS, Melita Denning et Osborne Phillips dans Philosophie et Pratique de la Haute Magie.   Comme ils le font remarquer, "cette formule et sa formule-sœur suivante (...) conviennent à l'évocation d’entités élémentaires ou planétaires pouvant être gouvernées par des rites théurgiques. Ils ne sont pas destinés à l'évocation d'entités goétiques élémentaires ou planétaires[1], ni à l'évocation d'entités zodiacales, qu'elles soient théurgiques ou goétiques. Pour les entités zodiacales, il existe des formules spéciales.).
 
 
 
Équipement (exigences essentielles)
- Tessera Mystique (pour ceux qui travaillent selon le système de la GD, le disque de terre convient très bien);
- Grande baguette (j'utilise ma baguette-foudre);
- Épée;
- Arme élémentaire selon le cas;
- Tablette Enochienne, selon le cas;
- Cratère. (Le cratère est un petit vase ouvert en laiton ou en cuivre, d'une profondeur d'environ la moitié de son diamètre, il est soutenu sur un trépied ou autre petit support approprié. Il est préparé au préalable en y déposant une petite quantité d'alcool mélangé avec quelques gouttes de l'huile d'onction.)
- L’Encens et les lumières (ceux jugés appropriés et souhaitables).

6. La Hiérarchie.
Pour cette partie du rite, l’Energisation (ou encore énergétisation) de soi, la capacité à générer des énergies nécessaires à la fois à sa protection mais aussi à la conduite magique et à la guidance des forces lors du rite, se fait par l'utilisation de la 2ème Formule dite Clavis Rei Primae (voir la PPHM), ceux qui sont familiers du rituel du pilier du milieu peuvent l'utiliser. Une invocation digne et belle de la force de Dieu de l'Élément ou de la Sphère, suivie de l'aspiration à être un véhicule digne de l'opération de cette Influence Divine dans le rite DOIT être exécutée. La demande doit être conduite avec le plus grand pouvoir pour provoquer l'obéissance de l'Ange (je dirai plutôt de l'Esprit qui doit être évoqué).
ADJURATIONS
CONJURATIONS: (contrairement à ce qui est dit dans la suite par les auteurs, les conjurations ne sont nécessaires que lorsque l'on s'adresse à des hiérarchies élémentales ou à des entités goëtiques, mais même dans ce cas, ma propre expérience m'a conduit à éliminer cette partie dite CONTRAINTE notamment dans le LEMEGETON). 
NEGOTIUM
ACCUEIL DE L'ESPRIT
DEPART DE L'ESPRIT.



[1] Il existe des entités goétiques élementaires ou planétaires (des 4 éléments ou des 7 planètes).

dimanche 12 février 2017


ASTROLOGIE SIDERALE OU TROPICALE ?

J'ai été formé en astrologie par Gyrovagus (cours complet d'astrologie) et ai étudié les cours de Labouré (astrologie sidérale, prédire par les révolutions solaires et lunaires, Astrologie hindoue, Manuel d'astrologie divinatoire, etc.), les deux pratiquant à la fois l'astrologie occidentale (utilisant majoritairement le zodiaque tropical) et l'astrologie indienne (usant du zodiaque sidéral). Voici ce que dit en substance Labouré (et de nombreux autres auteurs) à propos de toutes les controverses stériles entre "spécialistes" des deux écoles:

"J'ai parfois arbitré des prises de positions concernant les différentes écoles d'astrologie. Chacun se réclame d'une École et clame haut et fort son appartenance. On parle d'École Uranienne, Indienne, Sidérale, Humaniste, Traditionnelle, Karmique, etc. En fait, je suis encore surpris, après dix-neuf années de pratique professionnelle, du nombre de courants qui façonnent l'astrologie. Je suis surpris par ceux qui se réclament de la tradition et qui pourtant sont loin de l'art des astrologues européens du XVIIe siècle…Peut-on demander à un astrologue humaniste de répondre à des questions pratiques, d'échéances et de datation ? S'il ne pratique que l'astrologie de cette école, il ne s'en sortira pas. Pour preuve, certains astrologues humanistes prétendent qu'on ne peut pas faire de prévision en astrologie, alors qu'ils devraient simplement dire : « Je ne sais pas le faire… » Car on peut le faire. On ne peut jamais en dire plus que libre-arbitre ne le permet, mais on peut prévoir. Le libre-arbitre est souvent surestimé par les humanistes. Peut-on répondre à des questions intérieures uniquement avec l'astrologie indienne ? Oui, mais un apport humaniste sera d'un grand secours. Peut-on être précis en utilisant l'astrologie « traditionnelle » actuelle ? Oui, mais cela prend beaucoup de temps et un ou deux thèmes horaires vont largement avantager le ou la cliente. Ceux qui cherchent uniquement à mieux se connaître préféreront l'École humaniste, qui dépasse largement les autres écoles sur ce plan.
En clair, les différentes écoles répondent toutes à des besoins particuliers. Prenons l'astrologie indienne et confrontons-là à l'astrologie traditionnelle occidentale. Depuis la Terre, il n'y a pas plus de zodiaque tropical que de zodiaque sidéral. Ce ne sont que des repères et des abstractions mathématiques et non quelque chose de réel. Dans son « Dialogue sur les deux systèmes du monde », Galilée écrivait : « Les choses reviennent au même si la Terre seule se meut alors que le reste de l'Univers est immobile ou si, alors que la Terre seule est immobile, tout l'Univers se meut d'un même mouvement. » Einstein le disait aussi en ces termes : « Pour être capables de déterminer les positions des corps, nous avons besoin d'un système de référence. »
En astrologie, il suffit de savoir comment travailler avec ces repères. On n'interprète pas de la même façon en sidéral qu'en tropical (et un bon astrologue, quelque soit la "réalité" plus apparente du zodiaque sidéral, l'accepte comme un "repère" et rien d'autre (je sens que les traditionnalistes épris de vérités CONCRETES vont frémir!). Nombreux sont les astrologues tropicalistes qui clament haut et fort : cela ne marche pas, je ne me reconnais pas avec Mercure dans tel ou tel signe. Cette réponse est classique quand on ne suit pas la méthodologie sidérale. En sidéral, Mercure est avant tout le maître de deux maisons, par ses maîtrises sur les Gémeaux et la Vierge. Cette planète ne signifiera rien de plus que ce qui est en rapport aux maisons dont cette planète est maîtresse. Par exemple, si Mercure est maître de I avec un Ascendant Vierge et si elle est située en Verseau, elle sera en Maison VI et cela marquera la personne et son comportement, par sa maîtrise sur l'Ascendant.

Pour mieux comprendre cette dualité tropical/sidéral, prenons l'exemple d'un homme qui traverse un carrefour. Tout à coup, caché par une camionnette, il disparaît. Changeons d'angle et déplaçons-nous ailleurs dans ce carrefour. Il réapparaîtra à nos yeux. C'est la même chose en astrologie quand on parle des zodiaques : En changeant de position, on verra certaines choses que l'on ne verrait pas si l'on était resté sur place. Mais si l'on ne cherche pas à voir cet homme mais autre chose, on aura intérêt à ne pas changer d'angle de vue. Il ne faut pas jouer les paresseux en voulant tout résoudre à l'aide d'une seule méthode en astrologie. A moins de ne se cantonner que dans son secteur de prédilection.
                                                   
Voici comment je procède :

Questions personnelles et intérieures : Astrologie indienne, utilisation intensives des divisions, D5 (état d'esprit) et D9 (Vie relationnelle). Le thème tropical est utilisé en faisant un petit crochet par chez les humanistes.
Questions professionnelles : Astrologie Indienne, Maison X et D10. Je monte toujours un thème horaire comme complément
Questions à plus ou moins long terme : Périodes planétaires (sidérales), avec des révolutions solaires sidérales et un tout petit peu de progressions secondaires, juste pour mieux situer l'individu.
Questions sentimentales courantes : Thème horaire. Pour la recherche de la date d'une rencontre, je fais appel à l'astrologie indienne, avec un usage intensif du D9 et parfois les maisons uppachayas en relation avec les périodes planétaires. L'ashtakavarga est souvent utile, quoique pas indispensable.
Une simple question rapide sur des sujets divers : Thème horaire
Personne ne connaissant pas son heure de naissance : Thème horaire

Denis Labouré a souvent parlé de « tradition », en des termes justes, indiquant que c'est un courant, et qu'en même temps, cela ne veut rien dire. À force de rester coincés par la tradition et par les écoles, on ne fait rien évoluer. Au lieu de les faire cohabiter, on divise l'astrologie et chaque gourou prétend qu'il est le seul à avoir raison. À l'inverse, à trop chercher des voies nouvelles, on désapprend l'astrologie. Par exemple, on sait plus travailler qu'avec les aspects et les maîtrises ont été oubliées. Qui sait ce qu'est un terme, un décan ou une triplicité ? Seul les érudits et les chercheurs le savent… N'utilisons que des méthodes qui donnent vraiment satisfaction et qui ne prennent pas des heures à l'interprétation. Toutes les méthodes qui ne marchent pas dans 80% des cas devraient être abandonnées. On peut jeter la moitié des livres...


Or (et je parle ici à présent de ma propre expérience d'astrologue "amateur" ayant tout de même plus de 15 ans de pratique) j'ai toujours été étonné par la précision prédictive de l'astrologie occidentale tropicale (ce qui me permets de sortir de la controverse ci-dessus par le haut). Lorsque j'étais jeune astrologue à Brazzaville j'ai été consulté par un de mes amis qui avait appris ma passion de l'astrologie et qui souhaitait me tester. J'ai joué le jeu et dressé son thème astral. J'ai pu "voir" ou "lire" en en restant à l'astrologie tropicale la date des évènements majeurs de sa vie (son premier rapport sexuel à 15 ans suivi d'une complication vénérienne avec suppuration, son mariage et la date de son exil en France, etc.). Je pense donc que tant qu'une méthode fonctionne, ses fondements historiques peuvent être remis en cause, mais pas sa validité. A partir de ce moment on voit bien alors que quelque chose (un paramètre d'ordre non rationnel) échappe alors à celui qui en est le détracteur...