Initialement, Homo Magicus devait paraître fin 2016. J'ai été obligé d'en reporter la parution à 2017 (j'en expliquerai les raisons lorsque la date de parution se rapprochera). Un peu de patience donc. Homo Magicus décrit
rationnellement et pratiquement comment le parcours de l’humain originel (Adam),
qui est Ombre et écorce au départ, a des répercussions sur notre quête magique
actuelle. Il renoue avec la « tradition ancienne » qui veut que notre
combat vers la « lumière » soit aussi celui de notre quête vers la
« création » de corps qui nous font défaut et qui conditionnent notre
accès à la stature d’Homme. Ce chemin périlleux passe souvent, et c’est le
cas pour l’auteur, par des chemins de traverse (pratique de la magie dite
« noire »). Ces chemins ne peuvent être compris que comme participant
d’une démarche englobante menant à la Réconciliation. Le mage moderne obéit à
l’archétype du Fou, celui qui s’aventure sans crainte sur des « terres »
que foulent à la fois les Dieux obscurs et les Dieux lumineux, dans une danse
paradoxale sans fin. Mais attention ! Ce paradoxe VEUT que l’adepte agisse toujours
« comme si » la Lumière primait sur l’Ombre. Sur cette base peut
alors s’opérer deux choses : la déconnexion de l’adepte des Ordres
institués- et de leurs égrégores nocifs-, et la désoccultation de la magie
(le dévoilement des faux secrets magiques). Ces deux axes constituent la
démarche inaugurale l’adepte ou sa reprise en main de sa propre destinée
magique.
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